Le Mot du Maire d'octobre 1997

 

Avec le troisième trimestre arrive la rentrée scolaire. C'est aussi l'époque où, par endroits, des actions sont menées par des parents qui réclament le maintien ou la création d'une classe.

Les effectifs scolaires sont directement liés aux courbes démographiques. Et les élus surveillent attentivement ces fluctuations pour préparer l'avenir.
Le conseil municipal rest à l'écoute des parents d'élèves et des enseignants chaque fois que leurs observations visent à améliorer la vie scolaire des enfants dont chacun doit se soucier de préparer l'accès au collège.
Au fil des ans, nous avons recherché les solutions qui nous semblaient les plus appropriées pour l'amélioration de la
cantine. Malgré les efforts consentis par les cantinières et tout le personnel d'encadrement, les résultats n'ont pas toujours été à la hauteur des espérances.
Aujourd'hui, nous sommes confrontés au manque de places pour accueillir les enfants des écoles dans les conditions satisfaisantes. Si nous ne faisons rien, demain, nous serons confrontés aux normes européennes de conformité.
Au terme de longues études et de concertations avec les enseignants et les représentants des parents d'élèves, nous avons arrêté un projet pour la réalisation d'un "Restaurant scolaire-cuisine-
centre de loisirs" à Pruniers.
L'inquiétude des enseignants et des parents découvrant, quelques jours avant la rentrée, un vaste chantier dans la cour de l'
école Victor Hugo est parfaitement compréhensible. Mais une collusion sans précédent entre les enseignants, les membres du Conseil et les employés communaux a permis que la rentrée s'effectue dans les conditions les moins défavorables et de telle sorte que la sécurité des enfants soit assurée pendant la poursuite des travaux.

J'adresse mes remerciements les plus vifs aux enseignants qui acceptent de bonne grâce, de subir tant de perturbations dans leurs habitudes professionnelles et aux employés communaux qui ont tout mis en oeuvre pour que cette rentrée 1997, en dépit de tous ces inconvénients, s'effectue dans l'intérêt des écoliers.

Jean-Marie Bisson

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